Sans peur, sans pudeur
Dans la chaleur de ses bras,
De se sentir mourir
Sous la caresse de ses mains
Qui amène les nuits
Au portes du paradis,
Et d'oublier Dans un baiser La tristesse de la vie.

Lorsque tu tournes la tête vers moi, que tes yeux rencontrent les miens et que, de ton bras tu m’enserres la taille, tu n’imagines pas à quel point je suis heureuse. Le temps s’arrête, plus que ce moment ne compte, ce moment magique, que je voudrais éternel.
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Lorsque tu tournes la tête vers moi que tes yeux rencontrent les miens et que ta voix chante tout en me regardant, tu n’imagines pas à quel point je suis heureuse. Le temps n’existe plus, plus rien ne compte que cet instant que je voudrais éternel.
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Lorsque enlacée, je suis couchée près de toi sentant ton corps contre le mien, tu n’imagines pas à quel point je suis heureuse. Le temps s’arrête, plus que ce moment ne compte je m’endors paisible et rassurée tout à la fois et mes rêves sont parsemés d’étoiles argentées.
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Lorsque tu tournes la tête vers moi, que ton regard rencontre le mien et que ta bouche prend la mienne, tu n’imagines pas à quel point je suis heureuse. Le temps n’existe plus, plus que ce moment ne compte ce moment à la saveur de notre amour que je voudrais éternel.
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